samedi 17 septembre 2011

Autobus parisiens Renault tn4h. Parisian buses

Régulièrement mon père ou ma mère me conduisait à Paris, notamment à l’hôpital Saint-Louis dans le 15ème, pour y être désensibilisé (allergie). Mais c’était aussi des cinés (avec entracte), des musées (les Arts et Métiers, le Palais de la Découverte…), les grands magasins où enfin les parcs (les buttes Chaumont.) Je n’ai qu’un très vague souvenir de ces moments où nous sautions à l’arrière de ces  bus. C’était un peu la fête d’être ainsi debout, la tête juste au-dessus de la rambarde. Voir défiler Paris avec les odeurs et les bruits en direct.

Regularly, my father or my mother showed me around Paris. In fact, it was for medical reason (allergy.) but I saw movies ( with intermission and usherettes.) I visited museums, departement stores and parks. I remember; we jumped on the platform, behind the bus. I had a good time here, watching, smelling and hearing the old town.




My English is so bad, please correct me.

mercredi 17 août 2011

Les BB 17000




Lors de mes premiers trajets  vers Paris, les locos étaient toujours à vapeur. Il faut d’ailleurs que je retrouve le modèle. Au moment de l’électrification et peut-être aussi à l’occasion de cet évènement avait été organisée une exposition où l’on était autorisé à visiter l’intérieur d’une de ces toutes modernes locomotives (la 17035). C’était la fête pour un gamin de 7 ans (l’électrisation de la ligne Paris – Le Havre date de 1966.)


Des machines sacrément solides quand on pense qu’une bonne partie d’entre elle est encore en service.

dimanche 14 août 2011

La mobylette bleue



C'est à cela que ressemblait notre véhicule avant l'achat de notre première voiture. Je n'avais pas peur sur le petit siège à l'arrière, mais j'ai le souvenir de trajets austères l'hiver, notamment pour aller chez notre dentiste. 

samedi 13 août 2011

L'ami 6



Notre première voiture. Jusque vers 8 ans, mes parents ne se déplaçaient qu'à mobylette. C'était formidable d'aller si vite, au chaud, mon frère et moi bien calés à l'arrière. Mais surtout pas de bruit ni de gestes brusques. Mon père veillait à la discipline. Ainsi, plus besoin de tanner notre grand-mère pour se rendre sur le pont de l'A 13 ou au bord de la nationale afin de regarder passer les bolides. Nous faisions parti des veinards. Le top était quand même de se réfugier dans le coffre, ce que nous pûmes faire lorsque ma mère eu pris de l'assurance comme conductrice et que la discipline se relâcha.

Les DC3


Les DC3 parcourraient encore le ciel dans mon enfance. De jour, ils étaient rare mais on les entendaient encore ronronner de nuit. Ils étaient  notamment utilisés pour le transport du courrier. On voyait aussi les DC4 et DC6 mais curieusement ce sont les plus petits qui m'ont le plus marqué. les bi et quadri-moteurs faisaient trembler les fenêtres. Leur son avait quelque chose de rassurant et presque mélodieux.

mercredi 27 juillet 2011

LES OBJETS DE MON ENFANCE

Objets de mon enfance

Hélicoptère banane



Un site sur les bananes volantes
de son vrai nom Piasecki H 21
Lorsque j’étais enfant, ils survolaient encore le ciel d’Ile de France. Un colonel américain louait une maison dans ma rue. Ma première copine: « debby » dansait avec moi lors de la fête de fin d’année. L’année d’après, de Gaule demandait aux soldats américains de rentrer chez eux. Elle m’écrivit une lettre pour se plaindre de ce renvoi. Je n’ai pas trop compris à l’époque. (J’étais au CP) Mais j'ai su la lire... Je regrette beaucoup de ne pas avoir gardé ce petit mot.

Nota : la danse de fin d’année était sensée être russe !